REPTILY-FAMILY

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trempette du 31 mai...

La semaine dernière il y avait 12 voitures de garées aux 4 chalets. Cette semaine personne. Rien, que d'chique, nada !!! Faut dire que la météo n'était pas de la partie. J'aime bien ce moment où nous sommes à l'abri de la digue, puis nous la grimpons en écoutant le bruit des vagues qui gonfle et en arrivant au sommet nous nous prenons les élément dans la tronche. Au retour c'est l'inverse. L'eau et l'air étaient à 13°C, beaucoup de vent et de la pluie... Les abaques laissaient prévoir que nous eussions dû nous baquer vers 15H30 mais l'organisation de la journée et la météo nous ont incitées à repousser l'heure H à la fin de journée d'autant plus facilement qu'une baisse de la vitesse du vent devait être accompagnée d'un arrêt de la pluie voire de quelques éclaircies...

Nous sommes partis pour une trempette à la montante mais à marée basse à 19H30...
Min z'oeil ! C'était tempétueux ! Nous nous sommes défroqués à l'abri de notre épi avant de nous jeter dans les vagues. En partant de la maison, nous n'étions pas plus motivés que cela et ça nous a fichu un de c'est coup de fouet. En quelques secondes nous nous sommes sentis comme des poissons dans l'eau. Bref une ambiance qui n'avait rien à voir avec celle de la semaine dernière et qui rappelait plutôt ce que nous avions connu de novembre à janvier... Malgré les conditions, aucune urgence pour se refroquer en sortant de l'eau. Par contre, Léo, comme moi, avons pris dans la tête des vagues qui nous ont chatouillées les oreilles et ça a picoté pendant un petit temps... Bien imprudent le baigneur qui croit qu'à la sortie de l'hiver les trempettes s'aseptisent et qu'après quelques belles semaines il n'y a plus d'engagement...













Une tour à eau...

Modification du système de stockage des eaux pluviales. Avec le grand Lézardeaux nous déplacons une cuve pour faire une colonne d'eau de 3000 litres. Cela rationnalise le système et permet d'avoir une pression suffisante pour mener l'eau jusqu'aux serres en gardant une pression conséquente...
Il ne reste plus qu'à l'habiller parce que pour le moment ça gagne le concours de mocheté !

L'anniv' de la petite lézarde...

petite Lézarde... Petite ?
Ô ma nature, ma nature que tout cela passe vite !

Piou-piou-piou...

Enfin, enfin... le premier poussin couvé par une poule arrive. La marans s'est laissée gagner par une envie de maternité. Le premier est visiblement un sussex. Les coucous doivent éclore lundi et pour le coup il y en a sous la poule et dans la couveuse...

Sous le soleil de midi...

Vespa crabro...

Ça cartoon !

Des courgettes à l'abri du froid...

trempette du 24 mai...

La température de l'eau est maintenant à 14°c. Ça a un petit goût de grand sud. Décidément ces trempettes nous font voyager bien au delà des quelques kilomètres qui nous séparent de la plage...

Que dire si ce n'est que c'était extra et que nous sommes restés plus de 20 mn dans l'eau (il fallait rentrer manger). Nous avons fait une longue promenade mi nagé- mi marché vers le nord. Au retour, j'ai choisi de batailler à la nage contre le courant... Ce fut long mais bon. Pas mal de touristes graillaient sur la digue de galets. Un homme a mis une combi... Nous nous sommes dits "chouette un copain"... mais il est sorti presque aussi vite qu'il était rentré... Nous avons trouvé qu'il abusait un peu...

Sur le chemin du retour, nous parlons déjà des trempettes de l'hiver prochain...
Vivement la semaine prochaine ! (ou demain, car ça commence à démanger le reste de la tribu)













Autour de la mare...

la mare a sept ans. L'eau est translucide. Aucun des écueils annonçaient (moustique, verdissement... ) ne s'est avéré exact. Je trouve le milieu créé de plus en plus sympa... Je vais tailler un petit sentier pour pouvoir en faire le tour plus facilement...







Arrivée des oisons...

Demain c'est la manif contre monsanto...


Dans la boîte aux lettres...

Quelle surprise aujourd'hui en ouvrant la boîte aux lettres. Il y avait avec le courrier un colis pas ordinaire venant des serres Tonneau. On pourrait se dire qu'il en a de la chance le Lézard : il met une photo de la bâche vieillissante de sa serre et tatata... les serres Tonneau lui font un petit colis avec un kit de réparation. Bin, non, ce n'est pas une histoire de chance... C'est juste que c'est monsieur Tonneau qui est comme ça.

Quand j'ai décidé d'avoir une serre (j'ai très longtemps hésité pour des raisons écologiques, économiques...) j'ai pris les catalogues des différents fabricants. J'en voulais une qui s'installe très facilement, qui puisse être déplacée et qui est fait ses preuves. J'ai éliminé les serres en verre car le coût au m2 ne me semblait pas raisonnable pour produire des légumes et après étude comparative des sections, des structures, des bâches... mon choix s'est porté sur une serre Tonneau. J'ai choisi sa taille en fonction de mon porte-monnaie (quand on fait le calcul au m2 on se rend compte qu'il y a une surface qui coûte moins chère... j'ai appris plus tard que c'était logique... chaque serre à au moins deux extrémités et une porte... quelque soit le nombre d'arceaux...). Cependant si c'était à refaire je prendrai beaucoup plus grand et surtout je mettrai une serre dans le jardin et je ferai mon potager autour... et pas l'inverse.
A l'époque je croyais que les serres Tonneau était une marque, un concept... basé sur la forme en tonneau... en demi tonneau. Et puis j'ai découvert que derrière il y a avait un homme.
J'ai eu le grand bonheur de rencontrer Jean-Pierre Tonneau il y a quelques années. Je suis allé visité son usine. J'ai vu comment il travaillait. Nous avons discuté de serre. De ses serres bien sûr mais aussi de celles des autres et de celles qui sont autoconstruites... J'ai appris plein de choses. Et puis dès la première discussion il m'a semblé que ce qui est le plus important à ses yeux ce sont les gens qui cultivent les légumes, c'est l'utilisateur de ses serres. Bien sûr son activité est économique mais l'aspect humain n'est pas oculté, loin de là. Il faut entendre comment il parle d'eux avec passion... comment il s'intéressent aux modes de cultures qui sont pratiqués dans ses serres. C'est un homme qui s'arrête sur la route des vacances dès qu'il voit une des ses serres pour aller discuter avec les jardiniers... Enfin, je ne suis pas sûr qu'il continu à le faire vu le nombre de serres Tonneau que l'on voit maintenant. Rien que dans ma rue, et nous ne sommes pas nombreux, les serres qui ont éclose chez mes voisins sont principalement des Tonneaux...
Après les tempêtes (mes serres s'en sont prises quelques une dans les dents et n'ont jamais tremblées même cet hiver lorsque la toile était fragilisée), après qu'un orage de grêle (et m'dame Lechat en un connu un récemment... j'espère que ta toile est arrivée... mais le printemps c'est le coup de bourre pour les fabricants de tunnel à cause des envies de dernières minutes... de tomates) ou plus redoutable encore... après un épisode de neige lourde... il arrive qu'il y ait de la casse et alors nos cœurs s'effondrent... C'est là qu'on est content d'avoir choisi du matériel robuste mais simple où tout peut être changé, réparé... à moindre frais. La plupart d'entre nous répare seul dans son coin comme je le faisais. Des fois il faut passer commande d'une pièce... et là je crois qu'à Lincelles il y a une alerte qui sonne (je ne suis pas sûr mais je crois...) et que Jean-Pierre Tonneau se renseigne puis avise en privilégiant l'aspect humain...

Voila, ma bâche est réparée. Elle est repartie pour un tour... Sixième, septième, huitième saison... Quand j'ai reçu ma serre, le livreur m'a dit qu'il venait de déposer une bâche à quelques kilomètres de chez moi. Le gars la changeait au bout de 17 ans. Je pense que ça serre était à l'ombre. On ne peut pas tout avoir : une bâche qui dure et une bonne exposition au soleil. Il faudra que je change la mienne un de ces quatre. Ce jour là se posera la question d'en doubler la surface. Je sens que je vais encore tergiverser plus qu'il ne faut. Ce qui sera beaucoup plus simple c'est le devenir de la vieille bâche : la partie Est indemne servira pour faire des tunnels bas tandis que le reste servira pour protéger le bois de chauffe de la pluie...

En tout cas, merci monsieur Tonneau pour cette délicate attention... et pour vos visites régulières de la Reptily-Family.






Les lupins de cette année...

Étonnants comme tous les ans, je note cependant que les lupins prennent un peu trop leurs aises. C'est que je commence à en retrouver un peu partout ! Grrr. Alors j'en mets en pépinière, j'en repique... et certains partent au compost. Ainsi va la vie du jardin...

Trempette du 17 mai...

une trempette à la descendante mais... encore assez haute... car je me suis trompé d'horloge avant de partir... Nous avons deux horloges dans la maison. L'une à l'heure d'été et l'autre à l'heure d'hiver (c'est assez pratique d'une manière générale, surtout deux fois dans l'année) et je m'a gouré (grrrrr)...
Le côté positif c'est que lorsque la mer est haute nous n'avons plus pied assez rapidement et qu'ainsi je ne risque pas de me prendre un piquet de rommel...
A chaque trempette nous faisons, chemin faisant, des hypothèses : ça va être chaud à cause des vagues, gaffe au courant, on ne s'éloigne pas de la berge, on ne reste pas trop éloigné l'un de l'autre... ou bien... aujourd'hui ça va être tranquille... limite on va s'embêter. Comme il faisait chaud (20°c) nous avons craint le chaud-froid. Comme il n'y avait pas de vague nous avons craint l'ennui... Que nenni, ce fut une merveilleuse trempette de printemps !
Nous sommes restés un petit quart d'heure dans une eau entre 11 et 12°c à nager d'un épis à l'autre en ayant bien en tête que toutes ses trempettes hivernales nous permettent de profiter pleinement de la chance que nous avons de vivre sur ce petit bout de littoral...
Notre plage n'est pas sur une île du bout du monde, avec une mer chaude et de doux zéphyrs... mais pour nous une trempette sur le littoral picard vaut toutes les promesses des voyagistes...

Vivement la semaine prochaine !











Essaim du jour...





Soirée circassienne...

L'école de cirque Cirqu'onflexe fêtait son âge en grandes pompes dans un cirque Jules Verne plein à craquer. C'est le BBCL qui faisait le poum-poum-poum...







Des poulettes qui découvrent le poulailler mobile

La première série prend le grand air !!!

De l'eau dans les bottes...

Aujourd'hui je faisais du lourd, du chiant, du douloureux pour les bras (surtout le droit)... arrachages d'ortie, de pétasite et de bambou... dans des coins que je néglige. Il est intéressant de noter que les poules mangent à peu près tout sauf les orties, les pétasites et les bambous. Avec mon outil (je dis mon parce que c'est mon chouchou) dont je ne connais pas le nom pour la simple et bonne raison que je ne lui en ai pas donné, une espèce de fourche bêche édentée à main (dont nous avons déjà parlé), j'allais chercher les racines en profondeur et les poules, dans mes pattes, étaient à la régalade car ça grouillait de vers.

D'un coup, d'un seul le vent s'est mis à souffler et je me suis pris des trombes d'eau sur la tronche. Ça a duré un moment. J'étais trempé mais j'ai continué. longtemps. Des heures avec les gants et les bottes pleins de flotte.

Et bien, figurez-vous que j'ai plus tremblé de froid cette après-midi qu'au cours de toutes les trempettes de cet hiver !!! J'en ai même eu mal dans les doigts des mains et des pieds. Un bain chaud a été nécessaire. Et c'est toujours douloureux en ce moment.
Incroyable.

Premier, première...





3 semaines de chaleur pour le petit trésor !

Dix œufs sont dans la couveuses et les cinq autres sont sous la marans qui s'est décidée à couver (j'ai profité d'une de ses petite escapades alimentaire pour faire un échange...).


Un trésor à bichonner...


Trempette du 10 mai...

D'après les abaques nous devions nous tremper vers 14H00 mais ce n'était pas possible car au même moment j'étais de causerie au sujet d'un allium qui me tient à coeur... Causerie au demeurant fort intéressante car j'ai rencontré des jardiniers d'un âge certain qui m'ont longuement parlé des variétés de légumes qu'ils cultivent et qu'ils tiennent de leurs parents... Très, très, très intéressant. J'ai les coordonnées de chacun et je vais retourner les voir pour faire des enregistrements de leurs récits. Certains parlent un picard qui tant à disparaître, d'autres ont un accent étonnant avec des r roulés... Ils parles d'échalotes, de haricots, de poiriers, de pommiers avec des yeux qui pétillent. J'adore

Donc c'est après une journée de plein soleil que nous nous sommes rendus en début de soirée à notre plage préférée. Belle mer, température de l'air presque estival, température de l'eau à 11°c. Un délice ! Après être restée froide pendant tout le début du printemps, il nous semble que la température de l'eau grimpe assez vite depuis trois semaines... Nous avons pris garde à ne pas nous prendre de piquet de rommel et sommes sortis de l'eau quand nous avons vu que la Lézarde commencait à trouver le temps long... Déjà qu'on lui demande chaque semaine de nous accompagner, faudrait pas exagérer...













Phénologie - Aubépine


Aubépine noyée au milieu des ficus, goji, pommier, feijoas...

Hummm, le bon compost... de toilettes sèches...


Des réparations qui s'imposent...


Des filles qui préparent une pizza...

Floraison du goumi...

Un cotinus après le grain...


Un grain qui passe...

Jardinier musicien...

Trempette du 2 mai...

Trempette à 15H00 à la descendante... J'étais un peu inquiet car depuis ce midi je bossais dans la serre et nom de Zeus je m'y collais de sacrées suées. Le corps était comme qui dirait en ébullition et se jeter dans les eaux froides de la mer était peut être un peu osé. Un truc du style chlic-chlac... crac. Donc, la grande sagesse qui me caractérise m'a incité à me calmer 5 mn avant de partir histoire de faire redescendre le thermostat et appréhender cette trempette dans les meilleures conditions.
Nous sommes partis de la maison à la fin d'une grosse averse en nous disant que nous devions avoir pile-poil le temps avant la prochaine. Bon timing : La mer et le ciel était magnifiques. L'eau nous a semblé étonnamment agréable... comme celle d'une baignade de début d'été alors qu'elle n'est qu'à 10-11°c (ça monte, ça monte).
C'était bien sauf que je me suis pris un piquet de rommel que les mouvements de la plage ont fait réapparaître... C'était en plongeant, heureusement que j'avais les bras en avant... Méfiance la semaine prochaine, si possible tenter une trempette avec une hauteur de marnage plus importante.
Est-il utile de mentionner le fait que nous n'avons pas eu froid... mais alors pas du tout... et qu'ensuite je suis retourné dans les serres parfaire ma séance active de sauna...













Work in progress...








oseille rouge...