REPTILY-FAMILY

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Grandes marées...

Malgré le coef de 117, ces grandes marées furent plutôt modestes à cause des hauts pressions et du vent d'est... Avec Loup, nous avons vu le moment où l'eau cessait de s'avancer le temps d'un instant sur le haut du schorre avant de repartir. C'était magique... Des petites choses continuent de nous émerveiller...










Des nashis...

Les carottes tardives...

En Pirogue autour de Fort Boyard...

Ce we ma Douce a ramé. C'était à Fouras pour la dixième édition du Fort Boyard Challenge. Il y avait 18 équipages pour une course de deux jours en mer (30 km le premier, 18 le second). Celui de la baie des Phoques est 4ième au final alors qu'il s'opposait à des équipages exclusivement masculin...
Elle a les yeux qui brillent de joie...
J'ai récupéré les images sur la vidéo de l'organisateur de l'épreuve, mille mercis à lui

(La Lézarde est n°3 sur le va'a blanc, balancier blanc et à pointe orange..)










Les potagers vivriers des vikings du Groenland...

Du raisin de table...

Trempette du 20 septembre...

dernière trempette estivale. Très sympa, l'air était à 20 et l'eau à 17°c. Pas de vent. Quelques petites vagues mais rien de terrible. Le paysage qui nous entoure, par contre, est merveilleux comme d'habitude et on ne s'en lasse pas.

Vivement les prochaines !
Vivement l'automne (pour s'aguerrir) !
Vivement l'hiver (pour s'amuser) !
Et vivement le printemps (pour des trempettes plus... piquantes) !








Un curieux pommier à ST Valery sur Somme...

Une bien intéressante observation (Mémoires de la Société Royale d'émulation d'Abbeville, 1833)






C'est ce we...

C'est à Saint-Ouen dans la Somme.
Qu'on se le dise !


Les douceurs d'automne...


Des pains au levain...

je poursuis mon exploration du monde merveilleux des pains... J'ai pris le rythme de deux tournées de trois pains par semaine. Parfois, à côté, j'explore le grand livre des pains et je me commets dans des bretzels (avec le passage à l'eau bouillante avant la cuisson... mais là la Lézarde me donne un coup de main car c'est pour moi comme un Everest) ou des petits pains comme ceux que faisait ma môman...

J'ai une recette de base que j'ai adaptée à nos besoins et à notre four... et je brode autour pour varier les plaisirs...

Mon levain est rarement dans le frigidaire... Il traîne dans la cuisine et je le nourri une à deux fois le jour avant de l'utiliser pour la première levée. Il est très vigoureux et il lui arrive de vouloir se sauver. Il pousse le couvercle du pot à crème fraîche dans lequel je le cultive. C'est assez marrant à observer. Le lendemain, je le mets dans un plat avec cent quarante grammes de farine, cent millilitres d'eau et un peu de sucre. Je mélange et je le couvre d'un tissu humide. Je laisse monter (je mets mon plat à l'étage car il fait plus chaud et il n'y a pas de courant d'air...). Le troisième jour, je prélève une part pour faire mon levain-mère, et je divise le reste en trois pour faire trois pains. Dans le pétrin, je mets deux cents millilitres d'eau, deux cuillères de sucre, douze grammes de sel, ma portion de la première levée et quatre cents grammes de farine. La machine œuvre pendant quinze minutes... je fais varier les vitesses, des fois je fais des pause... mais je n'ai pas trouvé de net changement à partir du moment où c'est pétrit assez longtemps. J'allonge à la main les boules de pâte pour les mettre dans un moule à cake. Là, rebelote, je couvre d'un tissu humide et je laisse monter dans un endroit chaud... c'est à dire sur mon bureau. Pendant quelques heures il ne bouge pas et puis tout à coup je vois le tissu se tendre et prendre une forme convexe. C'est bon signe, signe que la deuxième levée et en route. Quand j'estime qu'ils ont assez levé j'enfourne le tout dans le four chaud brûlant (thermostat au max) après avoir versé un litre d'eau dans le lèche-frites pour bien humidifier l'air du four. La première fois j'ai été surpris par la tôle qui claque mais en fait ça se passe bien. Normalement, il faut baisser le thermostat au bout de vingt minutes et sortir les pains après trois quarts d'heure de cuisson. Bon, en fait je les laisse une heure plein feu. Bon pis des fois je les fais en deux jours et pas en trois et puis des fois je mets des olives dedans et d'autres j'utilise de la farine de seigle et puis d'autres...

Framboises...

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Du kéfir de fruit...

Avant l'ensachage...

Y'a pas seulement que d'la pomme... y'a aut' chose...






Un diptère coprophage dans le caca...

Canna comestible...

Mes canna édulis sont vivaces depuis trois ans et il faut croire que l'absence d'hiver et la nature du sol leur conviennent pleinement. Ceci dit, faudrait que je prenne garde dans quelques mois à ce que les grignoteurs ne soient pas plus destructeurs que les forces d'Adad et de Zeus réunis !




Géante d'Orenbourg

Autoportrait du cornichon...

Autoportrait de ma pomme...

Des tomates...

PdT autonomes...

C'est l'histoire d'une pomme de terre qui se retrouve par un beau printemps dans un tas de compost en formation. Elle s'y sent bien et prend ses aises. Au cours de l'été elle est resplendissante. Elle fait plein de bébés pour assurer la pérennité de son espèce. Au total ils seront 26 à survivre aux assauts des grignoteurs à quatre dents (pour un total de 5,4 kg). Les plus beaux font pas loin de 400 grammes chacun...