J'ai lu cet été toute la série par ordre chronologique en commençant par le dernier écrit (qui est le premier) et en finissant par l'avant dernier édité qui est la fin de Kurt quand il part dans son brouillard...
Ça ne s'est pas fait sans mal. Et puis, progressivement je me suis attaché à Kurt. J'ai consulter des atlas. J'ai regardé des images des paysages de la Scanie, d'autres de la ville d'Ystad. Je me suis attaché. Nous fûment proche pendant plusieurs mois.

Avant, l'hiver dernier, j'avais lu les 10 tomes du roman d'un crime de Per Wahlöö et Maj Sjöwall. Entre 1965 et 1975 ils ont décrit la sociale démocratie suédoise à travers les enquêtes de Martin Beck. J'avais été subjugué par cette lecture (et par celle des trois premiers romans écrits par Per Wahlöö seul).

Menkell a prolongé le travail de Wahlöö et Sjöwall. Il ne l'a jamais caché.

Il me reste un Wallender à lire. Il est de la série sans en être. C'est celui avec sa fille, Linda.
Je vais attendre un peu avant de l'ouvrir. Et après, je reprendrais par plaisir la lecture des enquêtes de Martin Beck

(Libération vient de commettre un article complètement à côté de la plaque, passant à la trappe Wahlöö et Sjöwall... grrrrrrrr)