REPTILY-FAMILY

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Malá zahrádka, velké výnosy

Hum-hum... quatrième traduction pour Un petit potager qui vaut le coup ...

Gazdag termés a kiskertből...

Hall meer uit je MOESTUIN...

Kleiner Garten, große Ernte...

Mijn tuin is goud waard...

Le guide du potager bio dans le nord...

Unser garten ist gold wert...

Un petit potager qui vaut le coup...

Avec le coût exorbitant du prix des fruits et légumes (et ça ne va pas aller en s'arrangeant), les doutes légitimes que l'on peut avoir sur la qualité de ceux qui ne sont pas labellisés biologiques et le soucis de prendre le temps pour « faire soi-même »... avoir un petit lopin de terre à cultiver est devenu une vraie richesse.

Dans un monde 'd'abondance illimitée' le potager apparaissait comme bien désuet. Quelle contrainte que de produire ses fruits et légumes alors qu'il est si facile de prendre sa voiture pour aller les acheter. Quelle aberration que d'utiliser une partie du jardin pour faire un potager alors que ce dont on a besoin c'est d'une pelouse, d'une balançoire pour les enfants et d'une haie de thuyas pour ne pas être vu des voisins... Et puis, avec la vie qu'on mène, il reste si peu de temps libre qu'on ne va pas en perdre à gratter la terre...

Mais l'abondance illimitée montre ses limites écologiques, environnementales, sociales, humaines et culturelles. Nous avons besoin de donner de la cohérence à ce que nous faisons. Le potager devient (redevient) une solution locale face à tous ces désordres. Le potager est anti-crise car il fait du bien au jardinier, à sa famille, à la société et à l'environnement. C'est une source de plaisir et de satisfaction. Il semble normal qu'il devienne une priorité dans nos esprits.

On dit qu'il faut une surface de 100 m² par personne pour accéder à une autonomie alimentaire pour les légumes de base. Dans la plupart des cas soit les jardins sont trop petits soit le manque de temps libre lié à l'activité professionnelle ou à celles des enfants... ne le permettent pas. Faut-il pour autant se priver de légumes et de fruits sains et du plaisir de produire soi-même une partie de son alimentation ?

Certainement pas !

Bien sur, les atouts, les contraintes et le champs des possibles seront différents si l'on peut le faire chez soi ou en accédant à une parcelle de jardins familiaux. Des solutions existent pour la plupart des cas de figure. Des pistes sont à explorer pour faire en sorte que les potagers soient de beaux lieux de vie, pratiques et productifs. Les petits espaces peuvent même combiner production de légumes et de fruits en utilisant des arbres palissés...

Les petits potagers ne pouvant pas accueillir toutes les graines du monde... il va falloir faire des choix. 4 semblent importants à prendre en compte :

  • cultiver ce que l'on aime et ce que l'on souhaite découvrir (car faire son jardin c'est s'offrir l'immense richesse d'avoir des légumes que l'on ne trouve pas dans les magasins comme par exemple des tomates ou des radis de toutes les couleurs qui sont bien meilleurs que celles et ceux qu'on nous offre habituellement)
  • produire des légumes qui ne prennent pas trop de place (on évitera de cultiver le potiron Giant Atlantic dans un petit jardin...)
  • privilégier ceux qui ne font pas envie sur les étals mais qui sont délicieux lorsqu'ils viennent du jardin (comme les navets...)
  • mettre l'accent sur les fruits rouges qui coûtent une fortune alors qu'ils ne demandent pas beaucoup de travail.


Les économies substantielles qui seront réalisées dès la première année et le bonheur que vous aurez à déguster vos fruits et légumes, soit en les picorant dans le jardin soit à table, vous montreront que faire un petit potager ça vaut vraiment le coup !

(dans toutes les bonnes librairies... à partir du 14 avril)



Et de deux bébés papier...

Dans toutes les bonnes crémeries à partir de vendredi...

Voir la fiche descriptive

Prix Saint-Fiacre 2010

Hier, avait lieu au musée de la vie romantique la remise du prix Saint Fiacre 2010. Je savais que "Le Potager anti-crise" faisait partie des 10 livres retenus et qu'il avait toutes ses chances... mais quand même, ce cadre, tout ce monde...c'etait très impressionnant.

Nadia de Kermel a fait un très joli discours et j'ai assez vite compris qu'elle parlait de mon bouquin... le verdict est tombé : Le Potager anti-crise est Prix Saint Fiacre 2010.
Extra !

Prix Chapitre Nature

Le potager anti-crise a été sélectionné pour le Prix Chapitre Nature, qui s'est déroulé dans le cadre du festival du Livre Nature et Environnement du 13 au 16 mai 2010, au Blanc, au cœur du Parc Naturel régional de la Brenne (36)


Les résultats sont

Le potager anti-crise