REPTILY-FAMILY

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Potée du jour...

Mise en place de nouvelles hausses...

Branle bas de combat !!! Les hausses sont presque pleines. Je dois en construire une dans l'urgence pour la Warrée. Heureusement le bois est déjà découpé à la bonne mesure. Je ne prends pas la peine de passer une couche d'huile de lin. On verra ça plus tard. Avec la petite Lézarde, nous allons les installer. Dans les ruches les cadres sont pleins de miel... hummmm. Cette année il va falloir que j'achète des pots.
Les deux nouvelles colonies doivent arriver d'ici 15 jours, 3 semaines...


25 ans...

PdT sous paillis...

Dernier poireau de l'année...

Promenade du 23 avril...











Globalmag [ARTE], plantations...


Au boulot...

il fait tellement chaud et sec que j'en viens à prendre le rythme d'été...

Dans la serre...




Autour de la mare...




Semis spontanés...

Recette :

  • semer la première année quelques rangs de radis divers et variés (Zlata, breakfeast...)
  • laisser les insectes aller d'une variété à l'autre
  • laisser les petites graines vivre leur vie
  • récolter des radis bigarrés la seconde année...


Promenade du 16 avril...

J'ai le parc à fraises à nettoyer... il y a du boulot (faut dire qu'il a été sensiblement négligé depuis quelques temps...). Je me suis réveillé avec une idée de génie : la grelinette© !!! Loulou me prête la sienne et je pense que ça va être plus facile... Pensez-vous !!! La tendinite me guette. Entre deux suées (il paraît que c'est moins douloureux que la fourche-bêche) je fais un petit tour dans le jardin pour un peu moins le méconnaître.











Ail des ours

Palace pour insectes...



Fukushima

L'accident , la catastrophe nucléaire de Fukushima vient d'être classé au même rang que celui de Tchernobyl... et ce n'est pas fini !!!
Que ceux qui ne jurent que par cette technologie (basée sur la foi que ça ne va pas craquer et qu'on va trouver une solution pour les déchets), qui en font la promotion depuis des décennies (au détriment des alternatives)... prennent des bottes, des pelles... et filent au Japon pour donner un coup de main aux liquidateurs. La moindre des choses c'est d'assumer.

Chronique potagère... N°17. Des fruitiers dans le potager.

PdT, avancement des TPS

Bientôt le repiquage individuel...

Promenade du 10 avril...
















Premières fleurs de piment...

La bête à Bon Dieu...

Chèvrefeuille comestible, Lonicera caerulea var edulis

Un petit potager qui vaut le coup...

Avec le coût exorbitant du prix des fruits et légumes (et ça ne va pas aller en s'arrangeant), les doutes légitimes que l'on peut avoir sur la qualité de ceux qui ne sont pas labellisés biologiques et le soucis de prendre le temps pour « faire soi-même »... avoir un petit lopin de terre à cultiver est devenu une vraie richesse.

Dans un monde 'd'abondance illimitée' le potager apparaissait comme bien désuet. Quelle contrainte que de produire ses fruits et légumes alors qu'il est si facile de prendre sa voiture pour aller les acheter. Quelle aberration que d'utiliser une partie du jardin pour faire un potager alors que ce dont on a besoin c'est d'une pelouse, d'une balançoire pour les enfants et d'une haie de thuyas pour ne pas être vu des voisins... Et puis, avec la vie qu'on mène, il reste si peu de temps libre qu'on ne va pas en perdre à gratter la terre...

Mais l'abondance illimitée montre ses limites écologiques, environnementales, sociales, humaines et culturelles. Nous avons besoin de donner de la cohérence à ce que nous faisons. Le potager devient (redevient) une solution locale face à tous ces désordres. Le potager est anti-crise car il fait du bien au jardinier, à sa famille, à la société et à l'environnement. C'est une source de plaisir et de satisfaction. Il semble normal qu'il devienne une priorité dans nos esprits.

On dit qu'il faut une surface de 100 m² par personne pour accéder à une autonomie alimentaire pour les légumes de base. Dans la plupart des cas soit les jardins sont trop petits soit le manque de temps libre lié à l'activité professionnelle ou à celles des enfants... ne le permettent pas. Faut-il pour autant se priver de légumes et de fruits sains et du plaisir de produire soi-même une partie de son alimentation ?

Certainement pas !

Bien sur, les atouts, les contraintes et le champs des possibles seront différents si l'on peut le faire chez soi ou en accédant à une parcelle de jardins familiaux. Des solutions existent pour la plupart des cas de figure. Des pistes sont à explorer pour faire en sorte que les potagers soient de beaux lieux de vie, pratiques et productifs. Les petits espaces peuvent même combiner production de légumes et de fruits en utilisant des arbres palissés...

Les petits potagers ne pouvant pas accueillir toutes les graines du monde... il va falloir faire des choix. 4 semblent importants à prendre en compte :

  • cultiver ce que l'on aime et ce que l'on souhaite découvrir (car faire son jardin c'est s'offrir l'immense richesse d'avoir des légumes que l'on ne trouve pas dans les magasins comme par exemple des tomates ou des radis de toutes les couleurs qui sont bien meilleurs que celles et ceux qu'on nous offre habituellement)
  • produire des légumes qui ne prennent pas trop de place (on évitera de cultiver le potiron Giant Atlantic dans un petit jardin...)
  • privilégier ceux qui ne font pas envie sur les étals mais qui sont délicieux lorsqu'ils viennent du jardin (comme les navets...)
  • mettre l'accent sur les fruits rouges qui coûtent une fortune alors qu'ils ne demandent pas beaucoup de travail.


Les économies substantielles qui seront réalisées dès la première année et le bonheur que vous aurez à déguster vos fruits et légumes, soit en les picorant dans le jardin soit à table, vous montreront que faire un petit potager ça vaut vraiment le coup !

(dans toutes les bonnes librairies... à partir du 14 avril)



Chronique potagère... N°16

Les hirondelles annoncent le printemps et la tonte des pelouses... La perspective de passer de nombreuses heures derrière ma tondeuse n'est pas très rejouissante...